LES MACCHABÉES DE SAINT-JUST
Ce roman a reçu le Prix LYON Polar DORA-SUAREZ 2021.
Abel Séverac fait une mauvaise rencontre dans un escalier du Vieux Lyon, la montée des Chazeaux. Il se réveille deux jours plus tard à l’hôpital Édouard-Herriot, incapable de se souvenir de ce qu’il lui est arrivé. Pratiquement dans le même temps, un enfant est enlevé non loin du cimetière de Loyasse et le cadavre d’une jeune femme est repêché dans le Rhône. Pour ne rien arranger, un dangereux truand, fraîchement évadé de la centrale de Clairvaux, semble avoir décidé de venir à Lyon régler quelques vieux comptes… Les macchabées tombent comme grêle en été, contraignant Séverac et son équipe à « se sortir les tripes » pour démêler toutes ces affaires !
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Éditions AO – André Odemard (avril 2021). Il peut être commandé directement sur le site de l’éditeur www.ao-editions.com ou dans une librairie (l’éditeur est référencé ELECTRE ET DILICOM). Également disponible sur Amazon, Fnac, Decitre, Cultura, Chapitre en format papier ou ebook. 272 pages, prix 21 €. Pour plus de détails, voir commandes.
Le Séverac suivant : Terminus : Gerland
Le cadre de l’intrigue.
L’intrigue se déroule en partie dans le 5e arrondissement, dont le vaste périmètre s’étend du Vieux Lyon, le long de la Saône, jusqu’au plateau du Point du Jour. Il inclut également Saint-Georges, Fourvière, La Sarra, le célèbre cimetière de Loyasse, Saint-Just, le Trion et Saint-Irénée.
Autant de quartiers aux visages différents, dont certains sont encore marqués par la période gallo-romaine (avec notamment, les théâtres romains et le musée de la civilisation gallo-romaine). Les églises ne manquent pas non plus, la basilique de Fourvière et sa vierge dorée dominent la situation tandis que la romano-gothique cathédrale Saint-Jean semble défier sa benjamine du haut de ses 7 siècles (je moyennise, sa construction s’étendant de 1175 à 1481). Saint-Georges pointe sa flèche en bord de Saône, face à une élégante passerelle suspendue qui permet d’accéder au quartier d’Ainay, dans la Presqu’île. Les églises de Saint-Just et Saint-Irénée n’ont pas le même charme, d’autant plus qu’elles semblent ne pas avoir été rénovées depuis belle lurette.
Quelques escaliers ou rues très pentues et pittoresques permettent d’escalader les pentes : montée des Carmes, Nicolas de Lange, des Chazeaux, du Gourguillon, des Épies, sans oublier le chemin qui qui serpente dans le jardin du rosaire. Un bonheur pour les amateurs de trail qui s’y entraînent de jour comme de nuit. Et si, à l’inverse, vous ne vous sentez pas d’escalader de telles pentes, rendez-vous à la station de métro Saint-Jean : deux funiculaires vous permettront d’accéder soit à Fourvière, soit à Saint-Just.
L’église de Saint-Just
La basilique de Fourvière
La « tour Eiffel » de Lyon Fourvière depuis le Vieux Lyon
La cathédrale Saint Jean Saint Georges
Saint Irénée
Saint Jean depuis la montée du Gourguillon
La fontaine du Taurobole dans le quartier Saint-Just
La montée des Chazeaux La montée des Épies
Le théâtre romain L’un des accès au parc des hauteurs
La place de la Baleine (Vieux Lyon)
Rue Saint-Jean (Vieux Lyon)
Vieux Lyon – Rue du Boeuf et place du Change
La tour rose (Vieux Lyon)
Le Vieux Lyon et Fourvière depuis la Presqu’île
Quartier Saint-Just – Un immeuble rue des Farges et la rue des Macchabées
Quartier de Saint-Just
Quartier du Point du Jour
La place Bénédicte Tessier au Point du Jour
La Presqu’île depuis le jardin des curiosités
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