LE FANTÔME DES TERREAUX
Quatre toiles prestigieuses prêtées au musée des Beaux-Arts de Lyon sont dérobées par un « fantôme », en pleine nuit, sans déclencher les alarmes ni alerter les vigiles. L’enquête est confiée au patron de la brigade criminelle, le commissaire Abel Séverac. La traque du suspect sera jalonnée de surprises, affaires connexes et fausses pistes. S’il compte sur sa fidèle équipe, les trois « bras cassés », Annie la lieutenante ou Nicolas, dit le Hérisson, le commissaire doit composer avec son supérieur, Duroc-Mallet et la juge Malardin… Il n’en oublie pas son fiston, Paul venu étudier à Lyon, avec qui il partage son penchant immodéré pour les bonnes choses de la vie.
Pour lire les 1ères pages > Le fantôme
Éditions AO – André Odemard (novembre 2014). Il peut être commandé directement sur le site de l’éditeur www.ao-editions.com ou dans une librairie (l’éditeur est référencé ELECTRE ET DILICOM). Également disponible sur Amazon, Fnac, Decitre, Cultura et Chapitre, en format papier ou ebook. 272 pages, prix 20 € ou 4,99 €. Pour plus de détails, commandes.
Le Séverac suivant se passe à la Croix-Rousse > Croix Rousse.
Ci-dessous, le billet de Ludovic Francioli dans Dora Suarez – Le blog (http://dora-suarez-leblog.over-blog.com/):
Ouvrir un livre de Jacques MORIZE, c’est comme déboucher une bouteille de bon vin, il y a de l’arôme, de la cuisse, du répondant et une longueur en bouche qui n’appartient qu’à lui. Dès les premières pages on sait que c’est lui, la gouaille, l’humour parfois décalé, les expressions uniques en leur genre et le voyage à travers l’enquête du Commissaire Severac dans le monde culinaire Lyonnais. C’est une ode à la gastronomie, celle qui aide à penser parce qu’elle impose un certain recueillement.
Chez Jacques MORIZE, la femme fatale est une fausse bourgeoise lyonnaise qui veut s’encanailler, elle veut bien bouffer du sexe à condition qu’il y ait de la salade verte au repas. Les malfrats sont calibrés mais jamais à la hauteur de leurs espérances, celle par exemple de roubler la mafia russe (jeu de mots:rouble et russe, mais c’est qu’il me déteint dessus le bougre).
L’équipe de Séverac est typée polar français à l’ancienne, l’alcolo, le cancéreux dépressif, la jeunesse bravache…
L’intrigue est ma foi fort simple, un vol de tableau, un mort par dommage collatéral et une enquête policière qui ouvre diverses portes.
Et MORIZE est épatant parce qu’en ces temps de littérature psycho-killer, il nous passionne sans avoir recours à des artifices psychologiques.
Les méchants sont des malfrats âpres au gain, ils n’ont pas souffert dans leur enfance, les différents protagonistes sont des « ratés » qui voudraient réussir ou au moins donner l’illusion de la réussite.
Vous comprendrez qu’on est plus proche de Chabrol ou Simenon que de Harlan Coben.
C’est un regard amusé que porte Jacques MORIZE sur cette population de la « bourgeoisie lyonnaise » et de ses aspirants à tous prix, même celui d’en mourir.
Pour ma part c’est le meilleur de la trilogie, parce que le plus maitrisé, le plus abouti.
Un clin d’oeil à la maison d’édition AO-ANDRE ODEMARD qui livre un bel ouvrage dans toute sa réalisation.
Juste pour rire : vous savez ce qu’est le « golf miniature à trois trous » ?
Voir également la critique de la blogueuse Andrée la papivore du 27/08/2017 : lien
Les lieux du crime !
Bonjour Jacques,
253 pages plus tard incluant un aller/retour en TGV et une CDAC obtenue ce matin à Créteil, j’ai englouti le fantôme lyonnais, ses ramifications suisses… et russes. Très sympa. Bravo. J’attends le prochain ! Bonne soirée. Amitiés, Philippe.
Philippe LONG a dit ceci 20 décembre, 2014 à 17:19
Super roman, agréable à lire et palpitant!
MORIZT a dit ceci 15 janvier, 2015 à 20:37
J’ai dévoré le Fantôme des Terreaux et ses lyonnaiseries en quelques heures ! Thomas
Thomas Bourgau a dit ceci 15 janvier, 2015 à 21:17
Très bien, ton Fantôme, Papou ! Bisous
Solenne MORIZE a dit ceci 15 janvier, 2015 à 21:18
J’ai lu avec beaucoup d’intérêt et de plaisir « le fantôme des Terreaux ». L’histoire du vol des Beaux-arts m’a passionné. Je suppose que les connaissances artistiques de votre épouse vous ont inspiré. Vous connaissez bien la topographie de toutes les ruelles du vieux Lyon et vous semblez apprécier toutes les saveurs de la gastronomie lyonnaise. Je me réjouis à l’avance de la sortie du prochain volume dont l’histoire se situera dans le quartier de la Croix Rousse.
Toutes mes amitiés, Jean-Claude MATHIEU
Jean-Claude Mathieu a dit ceci 15 janvier, 2015 à 21:26
Coucou Papa, j’ai fini ton livre et je l’ai trouvé super : captivant, plein de rebondissements, bien écrit, bien ficelé, bravo ! Bisous, Gwen
Gwendoline MORIZE a dit ceci 15 janvier, 2015 à 21:35
Je viens de finir le Fantôme des Terreaux. Bravo, Jacques, notamment pour la qualité de l’écriture, j’y suis très sensible. Odile
Odile a dit ceci 26 juillet, 2015 à 9:16
Un polar haletant à travers Lyon ! A lire absolument
Noémie a dit ceci 18 novembre, 2017 à 19:42
Monsieur Morize, je viens vous annoncer que vous avez un nouveau fan en ma modeste personne… Je suis en train de me délecter du « Fantôme des terreaux »… Quel plaisir pour un gone comme moi et grand amateur de polars de tomber sur un bon bouquin qui se déroule chez moi… Vraiment merci je passe un super bon moment et je vais enchainer les autres dès la fin de celui là…
Luc Delhome a dit ceci 7 février, 2019 à 7:31